Depuis quelques jours, Mathias ne quitte plus ses briques de LEGO, offertes gracieusement par feu l’Agence Méditerranéenne de l’Environnement, ancien employeur de Papa, en bon cadeau de Noël (vous en connaissez beaucoup des employeurs de la protection de l’environnement qui offrent des bons cadeaux à Noël, pour une naissance, un mariage, etc... ?).
Ce cadeau date de quelques mois déjà, et jusqu’à présent l’usage en était assez limité, très ponctuel et très court. Mais maintenant, c’est le jeu préféré de Mathias.

Ca se décline à volonté : Mathias peut vider sa caisse à LEGO d’un soup en la retournant, ou en prenant les briques une à une doucement... Il peut ranger ses briques le plus rapidement possible, assemblées en gros blocs ou une à une, lentement... Il peut aussi assembler les briques, puis les désunir, puis les réassembler, pour les redéfaire... Il peut s’énerver après quelques briques et les jeter sans vergogne, ou se montrer très patient. Ses montages peut voler ou rouler (et alors il fait le bruit du moteur et parcourt la pièce avec). Il peut aussi déplacer ses LEGO d’une chambre à une autre, dans la boîte ou séparément... Il peut embêter Sabou avec un assemblage, ou demander à Papa ou Maman de jouer avec lui, ou de l’aider, ou de l’admirer et l’encourager en nous montrant comme il est doué ! Parce qu’en plus, il n’est pas peu fier de montrer à qui veut ses montages.

Je légote...

Bref, c’est une activité formidable, tant par la mutitude de combinaisons de briques possibles, que par la facilité de transport et de mise en oeuvre. Ainsi, même dans le bain Mathias peut satisfaire son imagination en jouant aux LEGO dans l’eau !

Bon, pour l’instant je reconnais que ses assemblages ne ressemblent pas à grand chose, et que ses hélicoptères imaginaires sont déconcertants. Mais vous verrez, dans quelques temps, il va nous construire un magnifique gypaète barbu grandeur nature en LEGO, et là, vous aussi vous resterez bluffés par l’adresse de Mathias ! Laissons-le se faire la main, et avec un peu d’entraînement quotidien, ça va venir plus vite qu’on ne le croit.