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Deux ans, deux bougies, et toutes ses dents

Un Mathias sinon rien

Hier était un grand jour, puisque c’était l’anniversaire de la naissance de notre petit d’homme préféré : les deux ans de Mathias !
Un peu de la famille étant encore à Serdinya, nous avons dignement fêté cet évènement, avec moultes cadeaux et surprises.

Bon, déjà, on a commencé les festivités lundi 1er août à midi, en trinquant à la santé de notre Mathias, lors du dernier repas avec le Papounet et la Mamanou, venus pour le mariage, et partant rejoindre leurs lointaines pénates le déjeuner terminé.

Ensuite, le lendemain soir, veille de l’anniversaire, allant dîner chez le Péguy et la Mémé Mimi à Vernet les Bains, nous avons déballé les cadeaux des amis, de la Tata et des grands-parents. Les essais des engins miniatures pseudo-motorisés eurent beaucoup de succès, et les cubes-puzzles furent utilisés comme ponts pour locomotives ou camions. Le casque de vélo a par contre été délaissé, Mathias ne comprenant pas l’intérêt de mettre sur sa tête un casque lui tenant chaud alors qu’il faisait déjà assez chaud à son goût !

Cadeaux

Enfin, le 3 août au soir, le gâteau pourvu de bougies, la chansonnette poussée, la découverte du tricycle eut son effet. Et soudain le casque prit beaucoup plus d’importance aux yeux de Mathias, qui avait reçu une leçon particulière au sujet des casques de cyclistes dans l’après-midi par son papa. Parce qu’il y en des choses sur ce casque : des poissons, des dauphins, la mer... Tout un monde à explorer, et surtout, une fonction des plus nobles : protéger le cycliste en cas de chute ! Et notre bébé, il s’y connait en cascade, alors une fois le vélo à lui, le casque est devenu précieux. Impossible de s’en séparer, des fois que son Péguy le lui piquerait pendant son sommeil.

les bougies à souffler avec la Tata
après déballage

Et en plus, la famille Bussière a encore offert une figurine pour compléter la ferme : le chien ! Il ressemble un peu au Sweet, mais il ne risque pas de fuguer, ni de faire des bêtises, lui.

Bon, il ne reste plus qu’à s’entraîner pour le contre-le-montre au col de Puymorens.


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