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Comptage Perdrix

sur la soulane d’Enveigt

Certains diront que travailler dans les Parcs c’est un beau métier. Quel chance en effet de se promener à longueur de journée pour observer les fleurs et les petits oiseaux.

Ben cette fois-ci, après 8 mois de bureau (ben oui quand c’est l’hiver on va pas sortir se les geler. On est mieux au chaud à faire des réunions...) et bien c’était l’occasion de sortir compter les Perdrix grises.

Il est à noter que ces volatiles ont la facheuse tendance à ne chanter qu’à l’aube, aux premières lueurs du jour, au mois de mai. En clair pour les compter, il faut se lever à 3 heures du mat’. Que du bonheur.

Les premières lueurs

Donc vendredi dernier, j’étais de sortie sur la soulane d’Enveigt, en Cerdagne, histoire de quitter le bureau et la paperasse et histoire (aussi) de me faire chambrer par les techniciens de l’Office national de la chasse et de la Fédération des Chasseurs : "Ah ben Jérôme, t’as pas de réunion aujourd’hui ?".

Peine perdue, seuls quelques individus se sont faits entendre, mais nous ne sommes pas rentrés bredouilles. Juste dans la tête l’idée que ce territoire mérite un Parc...

...Et mériterait d’un peu de bon sens. Mais ça, c’est une autre histoire.

La Cerdagne depuis la soulane
Le Campcardos
Point de rencontre après le comptage
La Cerdagne après le lever du soleil

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